A défaut d'avoir trouvé la vidéo de leur rencontre (Acte I, scène 5), que je préfère, voici la fameuse scène du balcon, de Roméo et Juliette (eh oui désolée, encore Shakespeare ^^). Cette vidéo est extraite de l'adaptation de Baz Luhrmann avec Leonardo di Caprio et Claire Danes, qui est une reprise très...originale de la pièce, c'est le moins que l'on puisse dire !
my.dreams
All the world's a stage, here is my part !
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Laissez un souvenir de votre passage sur mon blog ;)
my.dreams le Lundi 26 janvier 2009
Jeudi 26 avril 2007 à 10:30
Voici un extrait du premier monologue de Hamlet, un de mes passages préférés, j'adoooooooooooooooore !!!!!!
(Un petit bémol tout de même pour le "Frailty, thy name is woman" : bravo pour l'image de la femme ^^)
(Un petit bémol tout de même pour le "Frailty, thy name is woman" : bravo pour l'image de la femme ^^)
Jeudi 26 avril 2007 à 10:21
L'insoutenable légèreté de l'être, de Kundera
J'ai récemment fini ce roman , que j'avais commencé à lire l'an dernier puis abandonné en cours de route (pour cause de surcharge de boulot ), et je dois dire que j'ai eu cette fois-ci l'impression de le comprendre beaucoup mieux : c'est en effet un livre qui se relit, si on veut en saisir le(s) sens...
Ce roman est bouleversant, et modifie profondément notre vision de la vie , du sens (s'il en est un en dehors de celui que nous lui donnons) de notre existence, nous faisant apercevoir son absurdité grâce à un nihilisme parfois poussé jusqu'au cynisme ... (je pense par exemple au récit de la mort du fils de Staline, qui est "mort pour de la merde", dans tous les sens du terme ^^).
L'auteur nous livre toute une réflexion sur la dialectique légéreté/pesanteur , que l'on retrouve à des degrés divers en chacun de nous; quant au personnage féminin principal, Téréza, elle est un exemple du contraste inhérent à chaque être humain entre corps et âme, à savoir qu'elle ne parvient pas à trouver en elle un principe d'unité ...
Bref, je tiens quand même à préciser que NON, ce livre n'est pas un bouquin purement philosophique et chiant ! L'action se déroule dans une Prague occupée par les communistes (en 1968), et il y a également une belle histoire d'amour (quoique douloureuse pour les deux ...) entre Tomas, médecin, et Téreza, serveuse puis photographe.
Voilà un roman qui est passé dans mon Top 2 des romans préférés avec Le rouge et le Noir :-)
J'ai récemment fini ce roman , que j'avais commencé à lire l'an dernier puis abandonné en cours de route (pour cause de surcharge de boulot ), et je dois dire que j'ai eu cette fois-ci l'impression de le comprendre beaucoup mieux : c'est en effet un livre qui se relit, si on veut en saisir le(s) sens...
Ce roman est bouleversant, et modifie profondément notre vision de la vie , du sens (s'il en est un en dehors de celui que nous lui donnons) de notre existence, nous faisant apercevoir son absurdité grâce à un nihilisme parfois poussé jusqu'au cynisme ... (je pense par exemple au récit de la mort du fils de Staline, qui est "mort pour de la merde", dans tous les sens du terme ^^).
L'auteur nous livre toute une réflexion sur la dialectique légéreté/pesanteur , que l'on retrouve à des degrés divers en chacun de nous; quant au personnage féminin principal, Téréza, elle est un exemple du contraste inhérent à chaque être humain entre corps et âme, à savoir qu'elle ne parvient pas à trouver en elle un principe d'unité ...
Bref, je tiens quand même à préciser que NON, ce livre n'est pas un bouquin purement philosophique et chiant ! L'action se déroule dans une Prague occupée par les communistes (en 1968), et il y a également une belle histoire d'amour (quoique douloureuse pour les deux ...) entre Tomas, médecin, et Téreza, serveuse puis photographe.
Voilà un roman qui est passé dans mon Top 2 des romans préférés avec Le rouge et le Noir :-)
NB : Je préviens d'ores et déjà les éventuelles remarques de Loïc: toute ressemblance avec des personnes existantes ne saurait être que fortuite ... ;-)
Dimanche 18 mars 2007 à 18:25
Cette chanson me met une de ces pêche ! Quand je fais du jogging je la met en boucle sur le ipod pour me motiver, et ça marche ! Et les gens qui me voient passer en voiture quand cette chanson passe à la radio doivent me prendre pour une vraie taré : à chaque fois je ne peux pas m'empêcher de me mettre à chanter ....
Dimanche 18 mars 2007 à 17:13
Je trouve que ce poème de Verlaine (extrait de son recueil Sagesse) reflète avec intensité l'étrange sensation de voir la vie comme un spectacle, de loin, sans pouvoir, ou même sans vouloir y prendre part...Cette étonnante sérénité (mélée de résignation?) à se savoir hors du monde, teintée, dans la dernière strophe, d'une pointe de mélancolie liée au regret de ne pas avoir profité de sa jeunesse...
M'enfin, je m'avance peut -être un peu trop sur l'interprétation ;-)
M'enfin, je m'avance peut -être un peu trop sur l'interprétation ;-)
Le ciel est, par-dessus le toit
Si bleu, si calme !
Un arbre, par-dessus le toit
Berce sa palme.
La cloche dans le ciel qu'on voit
Doucement tinte.
Un oiseau sur l'arbre qu'on voit
Chante sa plainte.
Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là,
Simple et tranquille.
Cette paisible rumeur-là
Vient de la ville.
- Qu'as-tu fait, ô toi que voilà
Pleurant sans cesse,
Dis, qu'as-tu fait, toi que voilà,
De ta jeunesse ?
Si bleu, si calme !
Un arbre, par-dessus le toit
Berce sa palme.
La cloche dans le ciel qu'on voit
Doucement tinte.
Un oiseau sur l'arbre qu'on voit
Chante sa plainte.
Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là,
Simple et tranquille.
Cette paisible rumeur-là
Vient de la ville.
- Qu'as-tu fait, ô toi que voilà
Pleurant sans cesse,
Dis, qu'as-tu fait, toi que voilà,
De ta jeunesse ?