my.dreams

All the world's a stage, here is my part !

Jeudi 28 juin 2007 à 19:23

Je vous livre une seconde analyse graphologique, celle d'un garçon de 20 ans, qui m'a lui aussi gentiment envoyé un extrait dactylographié d'une pièce de théâtre que j'apprécie également beaucoup: Roméo et Juliette. Il s'agit de la fameuse scène du balcon :-)


Résultat de l'analyse :

Cette écriture révèle une vivacité intellectuelle, alliée à une bonne culture et un esprit logique. De plus, cette personne fait preuve de sociabilité et de générosité, témoigne de l'affection à ses proches, et fait preuve de sens de l'humour. Toutefois, son caractère sociable laisse place par intermittence à des périodes où le besoin d'indépendance se fait plus ressentir.

 

Néanmoins, son écriture témoigne d'une personnalité timide, manquant de confiance en soi et ayant tendance à dissimuler ses problèmes à son entourage.

Il s'agit également d'un sujet angoissé, tenté par le mensonge et la dissimulation, et qui endure des souffrances physiques ou psychiques.



Jeudi 21 juin 2007 à 19:26


Récemment, alors que je déambulais dans les rayons d'Anecdotes, je suis tombée sur un livre de graphologie, et je me suis dit : Pourquoi pas ? Voici donc mon premier essai de déchiffrage,  réalisé grâce à Emilie qui a gentiment accepté que j'analyse son écriture.




Résultat de l'analyse :

Cette écriture témoigne d'un esprit clair et organisé, ayant un grand besoin d'affection et faisant preuve de candeur. C'est une nature posée, allant parfois jusqu'à l'indolence. On peut également noter une certaine ambition, se traduisant par un désir d'indépendance et de l'optimisme dans le domaine professionnel.
Néanmoins, cette personne a une humeur cyclothymique (elle est sujette à des sautes d'humeur), et peut souffrir de périodes dépressives. Peu satisfaite dans le domaine sentimental, elle a tendance à se tourner vers le passé et à faire preuve d'une relative faiblesse.

Lundi 18 juin 2007 à 20:35



« Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes.

Toute lune est atroce et tout soleil amer »

(Rimbaud, Le bateau ivre)

 

Pourquoi continuer à rire quand les pleurs nous submergent ? à respirer quand l'ennui nous étouffe ? à avancer quand notre passé est un champ de ruine ? et surtout à nous battre alors qu'il serait si doux de cesser le combat ?

Quand nos jours nous semblent moroses, de pâles images en sépia, sans mouvement ni joie, même l'espoir, ce vague sentiment qui parfois rejaillit et nous fait avancer malgré les obstacles, ne parvient pas à nous tirer la tête hors de l'eau. Oui, nous nous sentons plonger vers les profondeurs, mais nous ne cherchons plus à éviter la chute ; tout au contraire, on éprouve une certaine volupté à se laisser aller ….

 

A toutes ces questions délicates , je répondrais : traînons ce boulet à nos chevilles, tentons de vivre dans le souvenir de nos joies passées, avec l'espoir de connaître de nouveaux moments d'épiphanie, rares îlots de bonheur rapidement engloutis par ce raz de marée nommé mélancolie . Ces îlots sont nos bouffées d'oxygène, nos raisons de supporter l'insignifiance de la vie : les naufragés que nous sommes doivent s'y ressourcer, sous peine de perdre toute force vitale et de laisser l'ennui les submerger…

 

Tout cela pour en venir à une autre interrogation (eh oui encore), que j'adresse à tous ceux qui auront lu cet article jusqu'au bout sans avoir une subite envie d'aller faire un tour ailleurs ^^ : l'espoir de connaître de rares moments de joie fait-il le poids face à l'ennui ressenti au jour le jour ? Les « petits bonheurs » quotidiens suffisent-ils à le masquer ?

Pour ma part, je ne trouve pas qu'ils soient assez forts en intensité pour briser la mélancolie… mais si certains ont la recette pour mieux la supporter, je suis preneuse ^^



Mardi 5 juin 2007 à 18:56

Ca faisait longtemps que je n'avais pas autant apprécié un spectacle : de bonnes chansons, des chorégraphies dynamiques (créées par Kamel Ouali) et surtout des chanteurs excellents , ce qui fait qu'on ne s'ennuie pas une seconde ! Je m'y étais rendue avec quelques a priori, en me disant : « encore une énième copie de Notre Dame de Paris », mais je dois avouer que , même si les producteurs se sont engouffrés dans la brèche « comédie musicale grand public », ça n'en reste pas moins un spectacle de qualité ! Comme quoi le commercial n'est pas forcément synonyme de nullité.Sur ce point je fais un clin d'œil à quelqu'un qui se reconnaîtra, avec qui j'ai eu une petite converse là-dessus, et qui ne supporte pas l'appellation "commercial";-) Pour moi le mot commercial veut juste dire que l'artiste est récupéré par les grands distributeurs, pas forcément qu'il n'a aucun talent …


Lors de cette soirée, j'ai découvert Christophe Maé, que je ne connaissais que grâce à sa chanson « On s'attache » (que je n'aime pas du tout d'ailleurs !): je trouve qu'il a su voler la vedette à Emmanuel Moire par son dynamisme et son humour !

Parmi les meilleures chansons, je retiens « Je serai lui », « Ca marche », « Pour arriver à moi », « Entre ciel et terre » et ma préférée « La vie passe », dont je vous met le lien :




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