my.dreams

All the world's a stage, here is my part !

Lundi 30 avril 2007 à 17:42

Il m'arrive souvent de me demander pourquoi certains parviennent à vivre de manière légère et insouciante, quand d'autres ne cessent de voir la vie à travers le prisme d'une fatalité impérieuse et bornée. Le sentiment de bonheur doit certainement se trouver dans une tension entre ces deux attitudes, qui, bien qu'opposées, sont complémentaires. Car tension ne signifie pas s'abandonner sans nuance à l'une ou à l'autre, mais trouver une harmonie entre pesanteur et légèreté (tiens ça me rappelle quelque chose ça ^^)

Cela vous est-il déjà arrivé de vous lever un matin et de vous sentir plus léger, comme si la chape de plomb qui vous écrasait  - ou tout du moins une de ses strates ….- s'en était allée à pas de velours, au moment même où vous aviez renoncé à tout effort pour vous en défaire ? Ainsi, une mise à l'épreuve nous révèle parfois la disparition de ce que nous pensions être une fatalité !

Et une libération une !! (Parmi mes nombreuses addictions )


 


"Spread your wings and strongly fly to your destiny"

Ce que j'aime bien dans cette image, c'est l'idée de regarder devant soi, et non en arrière. Quant au message  "Voles vers ta destinée", je suis moins d'accord: à mon avis seul le vol est important, la destinée n'existe pas, elle est simplement l'idée qui permet l'envol...


Je réalise que dans certains domaines, il est inutile de mettre toutes ses forces à se libérer d'un fardeau qui de toutes façons ne nous quittera que quand nous cesseront de lui consacrer la plus grande partie de notre attention !

Voici une chanson qui pourrait illustrer l'un des aspects de cette (re)prise de confiance dans la vie et dans les bonnes choses qu'elle nous réserve certainement (oui oui j'y crois, et je VEUX y croire, c'est le principal !). Mais ne pas y voir un simple Carpe Diem insipide et somme toute un peu éculé !



Jeudi 26 avril 2007 à 11:44

Je voulais juste dire un grand MERCI à tous ceux qui m'ont soutenue et me soutiennent

 encore, même s'ils ne comprennent pas toujours très bien, mais ils m'ont tous aidé à leur

 manière



Tout d'abord merci à tous mes
amis ! Et je  ne peux qu'attribuer une mention spéciale à

Loïc qui s'est avéré être mon plus grand soutien et qui a tout fait pour me sortir de cette merde

Viennent ensuite mes grands-parents, sur qui je peux toujours compter (même s'ils ne


comprennent pas tout, mais il n'est pas toujours besoin de comprendre pour aider...), et


ensuite mon père (compréhensif quoique souvent envahissant ^^).


Aujourd'hui je pense être sur la bonne voie, et c'est en partie grâce à vous, alors encore




Jeudi 26 avril 2007 à 11:33

A défaut d'avoir trouvé la vidéo de leur rencontre (Acte I, scène 5), que je préfère, voici la fameuse scène du balcon, de Roméo et Juliette (eh oui désolée, encore Shakespeare ^^). Cette vidéo est extraite de l'adaptation de Baz Luhrmann avec Leonardo di Caprio et Claire Danes, qui est une reprise très...originale de la pièce, c'est le moins que l'on puisse dire !




Jeudi 26 avril 2007 à 10:30

Voici un extrait du premier monologue de Hamlet, un de mes passages préférés, j'adoooooooooooooooore !!!!!!
(Un petit bémol tout de même pour le "Frailty, thy name is woman" : bravo pour l'image de la femme ^^)


Jeudi 26 avril 2007 à 10:21

L'insoutenable légèreté de l'être, de Kundera

J'ai récemment fini ce roman , que j'avais commencé à lire l'an dernier puis abandonné en cours de route (pour cause de surcharge de boulot ), et je dois dire que j'ai eu cette fois-ci l'impression de le comprendre beaucoup mieux : c'est en effet un livre qui se relit, si on veut en saisir le(s) sens...
Ce roman est bouleversant, et modifie profondément notre vision de la vie , du sens (s'il en est un en dehors de celui que nous lui donnons) de notre existence, nous faisant apercevoir son absurdité grâce à un nihilisme parfois poussé jusqu'au cynisme ... (je pense par exemple au récit de la mort du fils de Staline, qui est "mort pour de la merde", dans tous les sens du terme ^^).
L'auteur nous livre toute une réflexion sur la dialectique légéreté/pesanteur , que l'on retrouve à des degrés divers en chacun de nous; quant au personnage féminin principal, Téréza, elle est un exemple du contraste inhérent à chaque être humain entre corps et âme, à savoir qu'elle ne parvient pas à trouver en elle un principe d'unité ...
Bref, je tiens quand même à préciser que NON, ce livre n'est pas un bouquin purement philosophique et chiant ! L'action se déroule dans une Prague occupée par les communistes (en 1968), et il y a également une belle histoire d'amour (quoique douloureuse pour les deux ...) entre Tomas, médecin, et Téreza, serveuse puis photographe.
Voilà un roman qui est passé dans mon Top 2 des romans préférés avec Le rouge et le Noir :-)





NB : Je préviens d'ores et déjà les éventuelles remarques de Loïc: toute ressemblance avec des personnes existantes ne saurait être que fortuite ... ;-)


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